UNE FAMILLE DE LUMIERE


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Poèmes mes amis et amies du 30-03-2010 bisous

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Poèmes mes amis et amies du 30-03-2010 bisous Empty Poèmes mes amis et amies du 30-03-2010 bisous

Message  Invité Mar 30 Mar 2010, 9:11 pm




















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Mon bras pressait ta taille…

Mon bras pressait ta taille frêle
Et souple comme le roseau ;
Ton sein palpitait comme l’aile
D’un jeune oiseau.

Longtemps muets, nous contemplâmes
Le ciel où s’éteignait le jour.
Que se passait-il dans nos âmes ?
Amour ! Amour !
Comme un ange qui se dévoile
Tu me regardais, dans ma nuit,
Avec ton beau regard d’étoile,
Qui m’éblouit.
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Les roses d’Ispahan…

Les roses d’Ispahan dans leur gaine de mousse,
Les jasmins de Mossoul, les fleurs de l’oranger
Ont un parfum moins frais, ont une odeur moins douce,
Ô blanche amour ! que ton souffle léger.

Ta lèvre est de corail, et ton rire léger
Sonne mieux que l’eau vive et d’une voix plus douce,
Mieux que le vent joyeux qui berce l’oranger,
Mieux que l’oiseau qui chante au bord d’un nid de mousse…

Ô amour ! depuis que de leur vol léger
Tous les baisers ont fui de ta lèvre si douce,
Il n’est plus de parfum dans le pâle oranger,
Plus de céleste arôme aux roses dans leur mousse…

Oh ! que ton jeune amour, ce papillon léger,
Revienne vers mon cœur d’une aile prompte et douce,
Et qu’il parfum encor les fleurs de l’oranger,
Les roses d’Ispahan dans leur gaine de mousse !
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Plus belle que Vénus…

Plus belle que Vénus tu marches :
Ton front est beau, tes yeux son beaux,
Qui flambent sous deux noires arches,
Comme deux célestes flambeaux,
D’où le brandon fut allumé,
Qui tout le cœur m’a consumé.

Ce fut ton œil , douce mignonne
Qui d’un regard traître écarté,
Les miens encore emprisonne
Peu soucieux de liberté,
Et qui me déroba le cœur
Pour le dessécher en langueur.

Te voyant jeune, simple et belle,
Tu me suces l’âme et le sang
Montre-moi ta rose nouvelle,
Je dis ton sein d’ivoire blanc,
Et tes deux rondelets tétons
Qui s’enflent comme deux boutons.

Las ! Puisque ta beauté première
Ne me daigne faire merci,
Et que moins amoureuse et fière
Tu prends plaisir de mon souci,
Au moins regarde sur mon front
Les maux que tes beaux yeux me font.
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