Poèmes d'amour de 27/10/2009 Bisous mes amies F.

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Dans la vague du bonheur... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Toi, là présent au coeur de ma vie Comme un faisceau de lumière, Comme ce printemps Qui vit notre rencontre, Qui jamais ne cessera d'exister ! Entre nous deux, l'éternité va de soi, Quand la passion dévorante Nous tient en haleine ! Dans l'antre de tes bras, Mon corps renaît, Comme un coquelicot de mai ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Quelques pas dans l'automne... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Tu es mon amour , e l'ai-je déjà dit ? Les mots qui me viennent , tels des flèches tirées au hasard, Sombrent dans l'air du temps ! Seul le silence atteint ton coeur ! Que nos regards, que nos paroles S'enveloppent d'amour et de silence ! Tu as mis ton bras par dessus mon épaule, sans rien dire, Ensemble, nous avons marché Entre deux champs de labours Tristes à mourir ... Qui ont oublié les épis mûrs Et l'or des blés ; Juste quelques pas Au coeur de cet autome Qui compte ses feuilles mortes ! Nous avons parlé, partagé la beauté du paysage Du haut de la côte , Et le souffle piquant du vent ! Le ciel s'est signé de haubans, Loin , le soleil, là-haut, Masqués par les nues étalées ... Et cette image de nous, marchant, Se voudrait presqu'un rêve ! Il y a des distances entre nous Mais il n'est pas de temps mort ! Il y a des absences Et des raisons d'attendre, Il y a toi, il y a moi... Je regarde la vallée encore verte, Qui s'étend...qui s'étend...trés loin ! Demain l'aube sera claire, Et je serais la pour toi ma douce amour! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Au regard de ton corps. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] D'un mouvement de plume, J'habille de nostalgie Mes larmes de brume, Au creux de l'insomnie. Il reste ce couloir Lieu de mes silences, Impasse de parloir Et, je nie ton absence. S'étend ainsi le rêve Sous un ciel de nuit, Femme tu soulèves Le voile de l'ennui. L'impudeur à l'aurore Se brûle et s'enivre Au regard de ton corps À l'infini le vivre. Dans ce clair-obscur Je tutoie l'illusion D'un amour futur Toi, mon exaltation. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]