Aimer c’est faire confiance toujours
C’est offrir pour la vie son amour
A l’être cher qui bouleverse votre cœur
Et pour qui, l’on désire ainsi le meilleur
Aimer, c’est espérer sans faiblir
Sans jamais surtout compter
Aimer c’est surtout, tout lui offrir
Comme ne jamais l’abandonner
Aimer c’est ne plus faire qu’un
C’est la joie, le bonheur certain
Ensemble de jouir du temps qui passe
Le cœur amoureux qui toujours rêvasse
Aimer, c’est à l’être cher lui offrir sa vie
C’est le chérir d’un grand amour eternel
C’est ne jamais le mettre surtout dans l’oublie
C’est toute simplement une vie exceptionnelle.]
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VIENS...
Viens, chaque jour ensemble enivrera mon âme
Car seule ta présence est la divine flamme
Qui brûle mon ennui. Ta vie est un parfum
Dont tu embaumeras l'instant le plus commun.
Songe que nous pourrons nous parler à toute heure,
Saisir et embrasser la main qui nous effleure ,
Le regard embrumé du voile du sommeil ,
Le sourire étonné des lèvres chiffonnées
Par la nuit de repos, la pose abandonnée...
Songe aux diners ensemble, aux soirs que nous aurons
Inombrables, heureux, devisant sous le rond
De la lampe amicale . Et si Dieu veut qu'il naisse
Quelque bambin joufflu...tissé de cent caresses
Des mille petits riens que nous nous serons dits
Chaque jour avec toi sera le paradis.
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A cette rose que l on veut detruire...
Je ressens ton cœur non pas battre mais souffrir
De multitudes blessures et plaies toujours ouvertes
Que Nul docteurs ou taleb n'a pu fermer ou guérir
J'ai eu mes peines mais les tiennes te tiennent inerte
Te torturent, te sucent la vie l'envie d' avancer t'enterrent
T'inondent d'amertume de dégoût t'attirent vers les fonds
D’un monde amer qui n'est pas le tien dans lequel tu erres
Pour te retrouver je le sens tu te bas à ta manière à ta façon
Que d énergie qui te fait défaut je t envois la mienne
De ce gouffre je veux te sortir et je n'ai que mon amour
Que mon cœur qui se déchire qui se torture
Se débat se noie te cherche et se déchaîne criant l'amertume
De la peur de te perdre que la mort te prenne
Pas la mort de la fin mais celle de l oubli de l indifférence
Je pleure je crie mon désarroi pour que tu m'entendes
Je te pousse dans tes retranchements pour que tu te réveilles
En prenant des mots blessants qui me déchirent pour que tu t'éveilles
A bout je te pousse mon amour,
je suis la peiné plus que tu ne le penses
Souffrant de douleur pour que tu sentes ta peine
Pour que tu cries pour que tu hurles et de ton cauchemar
Tu te délivres,de ce passe et tu vives ton présent
Est-ce bon, ais je tort, je t aimerai toujours
Docteur je ne le suis pas je laisse mon cœur
Avec ces défauts et ses peines te parler à chaque heure
Prends ma main et accroche toi car ma vie est tienne
J'erre dans mon éveil, je pleure et j'oubli mes nuits
Ou ton ombre est présente et elle me fuit
Je te dessine et par mes larmes sèches je t' imagines
Dans ton lit tu te tortures ; tu te bats et d'une carapace tu t'entoure
Tu te protèges tu t'isoles tu t'enfermes dans ton cocon tu t'endors
mon amour je t'aime je ne suis pas immonde, est ce un sort
A chaque réveil, on nous enterre, on veut notre mort,
Je le suis je le resterai a ton amour fidèle c'est mon dernier
A mon age c'est à toi que je serai sinon c est ma fin c'est ainsi
Au monde, tu apparais joyeuse, a tes appels il reste sourd
Tu tais ta douleur mais à tes rires et tes mots je la vis
A ton regard j'ai vu le désarroi de ton âme qui s'accroche
A mon regard te souviens tu ? Me lançant des appels et des cris
Que nul n'entend mais je le sens c'est des cris muets qu'on veut taire
Qu'on étouffe qu'on enterre,
je sens ce son par tes chansons ayant le même air
Chantant la peine ; la mort ; le passé ou la douleur est reine
Ma nature tu me diras, c'est ainsi ; non on ta rendu ainsi
Ton cœur était blanc te souviens tu ? On l a déchire on la marque
Au fer rouge sans que tu le sens ; par naïveté ou par amour
Voyant que bonté autour de toi tu ne connaissais pas la méchanceté
Tu y croyais au monde parfait, tu es un ange a qui on veut pour toujours
Enlever ses ailes ; prendre sa liberté ; l'enfermer a jamais pour l'éternité
J'entend tes appels quand tu dors ; quand tu vis, quand tu respires
Ta douleur m est quotidienne et mon amour se trouve agrandit
Car de ta peine il s est nourrit pour t'apporter apaisement tant que je vis
Ma vie n aura de sens que lorsque tu seras libre et épanouis
Vivant dans ton monde, où l amour te couvrira et lumière te bercera
Pour dormir et te réveillera pour vivre ; savourer le bonheur
Qui est enfoui en toi, que je cherche ; car c'est mon bonheur tu verras.
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