UNE FAMILLE DE LUMIERE


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Message  MichèleM Dim 06 Aoû 2017, 2:28 am

ANGES....J'AI LU BEAUCOUP DE CES LIVRES ET DE SA VIE  ...MERVEILLEUX ce Lama du tibet
Nous voulons tous que l'on nous donne, nous voulons tous être aidés. Personne ne peut nier d'avoir un jour prié pour être aidé! C'est une tendance humaine parfaitement naturelle que de désirer le secours d'une autre personne. Seul, l'homme ne se sent pas en sécurité et il a besoin de l'image de « Dieu le Père » ou de la « Mère » afin de se sentir protégé, d'avoir l'impression de faire partie d'une grande famille. Mais pour recevoir il faut savoir donner. On ne peut recevoir si l'on ne donne pas, car le don vous permet d'être réceptif pour ceux qui veulent vous donner ce que vous désirez.
Quand nous disons « donner » nous ne pensons pas nécessairement à l'argent, bien qu'il soit normal d'offrir de l'argent parce que c'est généralement ce que la plupart des gens désirent au-dessus de tout. De nos jours, l'argent représente la sécurité, l'apaisement de la peur de la famine, la libération des visites de l'huissier! L'argent peut être donné, et il doit être donné dans certains cas, mais « donner » signifie aussi le don de soi, rendre service aux autres. Nous pouvons, et nous devons donner de l'argent ou des vivres ou une consolation spirituelle à ceux qui en ont besoin. Encore une fois, si nous ne donnons pas, nous ne pouvons recevoir.
Dans le monde occidental, on se fait bien des idées fausses concernant les dons, les aumônes, la mendicité, la charité. Il semble que l'on s'imagine que ce soit une chose honteuse et dégradante que d'avoir à solliciter l'assistance des autres. Mais ce n'est pas vrai du tout. L'argent n'est qu'une commodité qui nous est prêtée pendant que nous sommes sur terre, grâce à laquelle nous pouvons acheter le bonheur et l'élévation de l'esprit à condition que nous nous en servions pour aider les autres et non pour l'entasser inutilement dans des coffres de banque.
Malheureusement, c'est un monde de commerce où la valeur d'un homme est mesurée par son compte en banque et par l'emploi qu'il fait de son argent. La femme et l'homme élégants qui donnent pour leur propre satisfaction - pour se faire valoir - ne sont ni spirituels ni généreux. Ils distribuent leur argent sans esprit de don, mais égoïstement, afin de pouvoir être fiers d'eux-mêmes. Pour montrer qu'ils sont riches. Mais hors de ce monde de valeurs erronées la richesse ne signifie rien car - nous ne nous lasserons jamais de le répéter afin que votre subconscient s'en imprègne - jamais aucun homme n'a pu emporter un centime, une épingle ou même une allumette brûlée au-delà de la Rivière de la Mort. Tout ce que nous pouvons emporter, c'est la somme de nos connaissances, notre expérience bonne ou mauvaise, généreuse ou avare, qui seront distillées afin que ne reste plus que l'essence de ces expériences. Et l'homme qui a vécu pour lui seul sur la terre sera dans l'au-delà un pauvre d'esprit même s'il a été un milliardaire.
En Orient il est courant que la ménagère aille à sa porte à la tombée du jour et y trouve un moine mendiant tendant humblement son écuelle. C'est une chose tellement normale que toutes les femmes, même les plus pauvres, ont toujours un morceau de pain ou un bol de soupe à donner au moine qui vit de leur générosité. C'est un honneur véritable pour la maison, qu'un moine vienne y chercher sa subsistance. Mais, contrairement à ce que croient les Occidentaux sceptiques, ce religieux n'est ni un parasite, ni un mendigot, ni un paresseux qui ne veut pas travailler. Pouvez-vous imaginer une de ces scènes?
Supposons que nous contemplions du haut du ciel un pays d'Orient, tel que l'Inde où il est courant de donner aux moines, comme ce l'était en Chine et au Tibet avant que les communistes ne prennent le pouvoir. Voici donc un petit village de l'Inde. Le soir tombe, les ombres s'étendent sur le sol. Le ciel s'assombrit, prend des teintes violettes, les feuilles des banians bruissent doucement au vent nocturne qui descend des sommets de l’Himalaya
Sur la route poussiéreuse, un moine en haillons avance lentement, portant sur lui tout ce qu'il possède au monde: sa robe, ses sandales et son chapelet. Sur son épaule est jetée la couverture qui lui sert de couche. Il a un long bâton dans la main droite, non pour se défendre contre les hommes ou les animaux mais pour écarter les broussailles et les épineux qui gênent sa marche: il s'en sert aussi pour mesurer la profondeur d'un cours d'eau avant de le franchir à pied.
Il s'approche d'une maison et, fouillant sous sa robe, il prend sa vieille écuelle de bois polie par l'usage et les ans. Comme il avance, la porte de la maison s'ouvre soudain et une femme apparaît sur le seuil, portant un plat bien garni. Elle baisse modestement les yeux et ne regarde pas le moine, car ce serait de l'impertinence et elle veut indiquer par son attitude respectueuse qu'elle est une personne de bon renom. Le moine lui tend son écuelle en la tenant à deux mains. En Orient, tout le monde tient un bol ou un plat à deux mains parce que ce serait irrespectueux de ne le tenir que d'une main; la nourriture est rare et mérite bien qu'on la respecte. Donc, le moine tend son écuelle et la femme la remplit généreusement; puis elle se détourne, aucune parole n'est échangée, ni le moindre regard. En nourrissant un moine, on paie en quelque sorte une dette, que tous les laïcs estiment avoir contractée envers les Saints Hommes.
La femme pense qu'elle et sa maison ont été honorées par la visite de ce moine, elle estime qu'on a rendu un tribut à sa cuisine, elle se demande si peut-être un autre moine n'aura pas eu quelques mots aimables pour ses plats et n'aura pas envoyé un de ses amis â sa porte. Dans les autres maisons, des femmes ont peut-être observé la scène avec envie, en regrettant de ne pas avoir été choisies par le Saint Homme.
Nous aussi, nous devons donner, afin de recevoir. Jadis, une loi divine exigeait que tout homme donnât le dixième de ses biens. Cette dîme devint une partie intégrante de la vie. En Angleterre, par exemple, les églises avaient le droit de prélever le dixième de ce qu'une personne possédait. Cet argent était consacré à l'entretien de la chapelle et aux pauvres.
Aujourd'hui, tout a changé. Plus personne ne paie de dîme et personne n'en vit, ce qui est dommage. Il est essentiel, si l'on veut progresser spirituellement, de donner sa dîme pour le bien des autres, car faire le bien des autres c'est faire notre bien. En un mot, nous ne pouvons progresser que si nous aidons notre prochain.
Les lois occultes s'appliquent tout autant aux non-spirituels qu'aux spirituels. Peu importe qu'une personne étudie et lise beaucoup de livres sur la spiritualité, elle ne sera pas spirituelle pour autant. Ce qu'elle lit peut simplement passer sous ses yeux et disparaître sans avoir un seul instant imprégné les cellules de la mémoire dans son cerveau, mais pourtant cette personne se considérera comme « une grande âme » et s'imaginera sincèrement qu'elle progresse. A vrai dire, elle est en général égoïste et n'aide personne, que, en aidant son prochain, elle s'aiderait grandement elle-même. Nous répétons donc que c'est en donnant que l'on peut recevoir et qui aide son prochain s'aide soi-même.
Il est parfaitement inutile de prier que ceci ou cela vous soit donné si vous ne montrez pas d'abord que vous en êtes digne, en donnant à ceux qui sont dans le besoin. Donnez, donnez toujours, habituez-vous à donner, cherchez ce que vous pouvez donner, et ce n'est parfois qu'un mot de consolation ou un sourire, décidez de ce que vous pouvez donner et, après avoir réfléchi, mettez cela en pratique pendant trois mois. Vous découvrirez au bout de ces trois mois que vous vous êtes singulièrement enrichi, spirituellement ou pécuniairement, ou même les deux à la fois!
Étudiez cette leçon, étudiez-la encore et n'oubliez pas qu'il faut « donner afin de recevoir ».

Lobsang Rampa


  
   DONNER et RECEVOIR/DE Lobsang Rampa 4bs41i10.♥️.QUE DIEU Nous protège ,Avec toute mon Affection.♥️  DONNER et RECEVOIR/DE Lobsang Rampa 4bs41i10
MichèleM
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